Quand on se sent fragilisé dans son corps, le mental peut flancher aussi. 

Les enfants en difficultés motrices ou scolaires ne correspondent aux attentes de leurs parents ou de leurs professeurs. La pression peut être difficile à gérer. 

Un espace de paroles peut-être salutaire pour déposer le trop plein des émotions, des pensées et des inquiétudes. Retrouver confiance, que ce soit du côté de l'enfant ou des parents. Renforcer son estime de soi. Prendre conscience de ses ressources, de ses talents. Imaginer un nouveau soi et lui donner corps. Prendre le contrôle de sa vie. Déployer son potentiel de vie. Être en joie, être joie. 

​

Quand on se sent en état de sur-stimulation sensoriel ou en état d'hypervigilance, le corps se crispe, les émotions s'exacerbent, le mental se fige... l'épuisement n'est pas loin. Les hypersensibles se reconnaîtront. Sentiment d'être incompris, vulnérables, inadapté. Peur du regard des autres. Peur d'être jugé. Envie de solitude, de calme, de silence. Un univers blanc, sans sensations. S'isoler à tout prix pour survivre. S'isoler pour oublier ce corps qui vibre et se cabre sous l'impact des flux sensoriels. Comme des agressions continues, nocives, à vous faire perdre la tête, le contrôle, le flux des pensées. Comme une sensation qui vide et laisse exsangue. 

Comment s'adapter dans ce monde quand on vit ainsi ? Quand on se sent incapable et inadapté ? La sensibilité peut être une qualité mais l'hypersensibilité est un fardeau. Si l'intégration sensorielle et motrice apporte une réponse au niveau corporel, un soutien thérapeutique peut-être nécessaire pour restaurer l'estime de soi et s'en sortir dans les situations relationnelles. 

​

Je suis là pour vous accompagner dans ces transitions de vie.